Une étude menée par des chercheuses de l’université de Californie à Berkeley révèle la présence de plomb ou encore d’arsenic dans des tampons menstruels. Les effets pourraient être potentiellement néfastes sur les reins, le foie ou encore le système neurologique.
Tampons as a source of exposure to metal(loid)s, Environment International, 2024-08
Publié le 15/07/2024
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